Le centre d'accueil "FANANTENANA" (éspoir)

La structure d’accueil

Le Centre est situé en ville de Toamasina sur un terrain d’un seul tenant de 18'000 m2, sur la propriété dite « FANANTENANA IV», portant titre foncier N° 10780-BA, dans le quartier d’Andranomadio, parcelle 11/43 ; son périmètre est entouré d’un mur d’enceinte en dur et de deux portails en métal. Il est constitué de :


  • => 4 pavillons occupationnels de 50 m2 en semi-dur d’une capacité de 30 enfants/pavillon
  • => 1 bâtiment plurifonctionnel de 175 m2 en dur (omnisport, ateliers, gymnase, etc.)
  • => 2 groupes sanitaires (4x WC, 2x douches) avec fosses septiques en dur
  • => 2 pavillons pour deux familles de gardiens
  • => 2 pompes mécaniques à main
  • => 1 ha de terrain cultivable
  • => 1/2 ha de terrain inondable (rizière, pisciculture)
  • => 1 Château d' eau
  • => 2 mini terrains de foot

Capacité effective d’accueil

=> 120 enfants

Ressources humaines

  • => 1 directeur de projet
  • => 2 enseignants (formés ASAMA)
  • => 1 animateur sports & loisirs
  • => 3 moniteurs d’atelier
  • => 1 gardien (famille résident sur place)

Activités du centre

Cours d’alphabétisation ASAMA (Action Scolaire d’Appoint pour les Malgaches) ; Formations de base en couture, en restauration (cuisine, pâtisserie, service de table, hygiène), en élevage (poulets, canards), et dans l’artisanat.

Si l’enfant possède les acquis socio-éducatifs, le cas échéant avec le concours du milieu familial, un suivi régulier est mis en place, soit en vue de la poursuite d’un cursus scolaire, soit par la mise à disposition de moyens matériel (outillage, fournitures diverses), financiers (petits fonds de commerce), et/ou administratifs (attestation de fin d’apprentissage, démarche auprès d’établissements de formation professionnelle ou auprès d’une entreprise ou d’un patron).

Problèmes rencontrés

En phase de démarrage et à des fins préventives, il y a d’ores et déjà un besoin avéré de mettre l’accent sur le suivi en milieu (de l’environnement) familial de l’enfant ; il s’agit a priori de repérer les cas d’extrême pauvreté (négligés ou occultés), afin de palier à certaines carences (nourriture, vêtements, santé), et d’évaluer son environnement socio-éducatif, en vue d’assurer un cursus social et pédagogique adapté à chaque situation. Donner la priorité aux situations d’urgences.